Si Cioran se faisait un allié de « l’inconvénient d’être né », c’est plutôt l’angoisse qui aide Jean-Claude Leroy à exister. Elle est une souffrance mais, étrangement, vient conjurer la mort : la trahir, c’est me tuer/mon angoisse m’appartient/son étoffe,...
Lire la suiteLa facilité consisterait à inscrire le dernier livre de Jean-Claude Leroy, Tu n’es pas un corps, dans le genre d’une poésie engagée, avec ce que celle-ci comporte d’idéologique et de formel. Ses poèmes ne viennent pas seulement en écho des luttes qu’il...
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