“ Il faut mépriser les adjuvants comme les miroirscar il faut mépriser ce qui détourne de la vie” (p. 20) Le titre l’annonce parfaitement : ce recueil poétique n’est qu’un cinglant (et douloureux) réquisitoire contre l’alcool. L’alcool facile, l’alcool...
Lire la suite« avec tous ces masques à leur placej'ai bien vu que les visages sont inutilesun chiffon fait très bien l'affaire » (p.47) C'est une poésie, à la fois, de l'atteinte irrémédiable et de l'accès impossible. D'une fascination pour la guerre intérieure (la...
Lire la suite« une cargaison d’amour en route pour des champs de ruines la guerre avait tout résolu il faut tout recommencer réinventer Dieu et la merde » (p.12) Jean-Claude Leroy (né en 1960) est depuis longtemps un oisif irritable, un voyageur rebelle, triple militant...
Lire la suite« Tout le réel, rien que lui, dans mon je essoufflé » (in Ça contre Ça, Rougerie, p.61, 2018). L’auteur (né en 1960) de ce livre, poète et essayiste, est ici aventurier et chroniqueur (instruit, agité et fin) d’une période de quelques mois du début 2011...
Lire la suite« étant mon propre criminel j'obtiens ma rédemption en baisant les lèvres d'une dame blanchela route est infinieles yeux se ferment les paupières sont rouges » (p. 34) « je suis au cœur d'un conflit entre Ç A et Ç Aje suis atteint jour et nuit par un...
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